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lundi 19 novembre 2012

Hibernatus

Quelques problèmes de connexion empêchent cette chronique de trouver un rythme régulier. Et malgré mes tentatives, les solutions ne semblent pas être pour demain.
C'est ce qu'on appelle être "en bout de ligne". Et les collectivités locales ne s'empressent pas à améliorer la desserte des zones moins densément peuplées !

J'ai donc envisagé pour l'hiver un rythme de parution mensuelle, ce qui correspond aussi à la période d'hibernation où le plaisir d'iris se limite à la consultation des catalogues des antipodes !

Les plantations ne manifestent pour l'heure aucun problème. La sécheresse a fait place à un excès d'eau. La saison passée restera une des pires depuis longtemps. Mes amis vignerons disent la même chose qui ont récolté en petite quantité des jus qui ne feront sans doute pas date dans les caves.

Visite au pays d'Iris

Un trop court séjour au pays d'Iris, messagère des dieux (et particulièrement d'Héra) où aucun iris n'était en fleur, malgré le temps estival (26°) qui aurait pu laisser espérer une belle remontée. Encore eut-il fallu qu'il y ait dans les jardins (publics ou privés) des plantations d'iris.
Cela ne semble pas en effet être la priorité des Grecs qui ont d'autres problèmes, même si, en dehors des jours de manifestations, cela ne saute pas aux yeux du touriste. Mais comme on le sait "la misère semble moins pénible au soleil".

En parcourant les sites archéologiques, j'ai quand même trouvé quelques fleurs : une variété blanche de crocus (à safran ?)

des cyclamens… de Naples 


et des bégonias rex poussant entre les pierres du théatre d'Epidaure :


J'espère, la semaine prochaine être en état de publier une chronique plus fournie …